On vous prévient tout de suite : cet article est à destination des gourmands ! Le fudge, fait en effet partie des confiseries locales les plus appréciées en Irlande ! Et on ne leur donnera pas tort : il faut dire que ce « bonbon » est délicieux à souhait ! A déguster absolument lors de votre passage sur l’île d’Émeraude !
Le fudge est plutôt facile à réaliser. Il s’agit d’un bonbon aux origines anglo-saxonnes, à base de beurre, de sucre, et de lait.Le plus souvent, un ingrédient additionnel est ajouté afin de parfumer le fudge… Chocolat, vanille, cidre, whiskey, cacahuètes, noix, fruits secs… Les possibilités sont infinies et dépendent du goût de chacun !
Le tout est ensuite mélangé et chauffé à une température de 116 degré. La préparation est ensuite refroidie, tout en continuant de remuer, ce qui lui confère sa texture proche d’un caramel, onctueux et crémeux à la fois !
Côté dégustation, on vous prévient : c’est redoutablement bon ! Fondant en bouche, et riches en saveurs sucrées, le fudge irlandais est un délice auquel on s’habitue vite !
Il existe de nombreux pâtisseries et chocolateries qui en proposent en Irlande. Mais certaines enseignes sont plus populaires que d’autres. Parmi elles, nous vous conseillons celle qui produit le Dingle Fudges ! Installée sur la péninsule de Dingle dans le comté de Kerry, cette entreprise réalise des fudges originaux, réputés dans toute l’Irlande !
Fudges au chocolat, aux amandes, au whiskey, aux fruits… Leurs confiseries sont aussi étonnante qu’originales !
Promis, votre porte-monnaie ne vous en voudra pas : les fudges sont généralement plutôt accessibles ! Comptez entre 1€ et 2€ la pièce ! Certes, certains fabricants les factures un peu plus chers (notamment lorsqu’ils sont réalisés traditionnellement dans des enseignes renommées).
Disons que c’est un peu comme les macarons français : tout dépend de l’endroit où vous les achetez ! En grande surface, c’est plutôt économique, alors qu’au sein de grandes enseignes, il vous faudra débourser quelques euros supplémentaires ! Mais après tout, c’est si bon : pourquoi se priver ?
